☇ Localisation : Je suis le poison qui coule dans tes veines
Sujet: Re: Représaille inattendue | Rebekah Mikaelson Ven 24 Mar - 13:49
Représaille inattendue
❝ Si la vérité blesse, le mensonge tue ♦ Katherine & Rebekah ❞
Je plissais des yeux à ses paroles je ne l'interrompis pas et j'ignorais ces réflexions sur Klaus, moi aussi mes bras sur ma poitrine. J'étirais un sourire énigmatique, je me doutais qu'elle allait réagir comme cela. Rebekah Mikaelson, l'Originelle ne souhaitait pas se rabaisser à devenir dépendante de ce que je savais. Savoir que si elle accepterai la mettrai sous ma botte la rendais folle et moi ca me faisait jubiler. C'est par fierté qu'elle refusais je le savais mais je savais aussi qu'elle était prête à tout pour avoir ce remède ce n'était qu'une question de temps pour qu'elle vienne me réclamer mon aide. Aprés tout ce remède n'était qu'une pure invention elle ne le trouvais jamais elle pouvait chercher elle sera obligé de revenir vers moi. Alors je la laisse croire qu'elle peut l'avoir, ca me fera gagner du temps et quand elle sera prête je lui proposerai sa fausse humanité contre mon immortalité de vampire. Mon sourire insupportablement provocateur ne quittait pas mes lèvres
- "Oh mais je t'en pris , essai donc de mettre la main dessus tu m'en diras des nouvelles. Si je t'ai donné ces informations et que je suis si confiante c'est parce que je sais parfaitement que tu ne le trouveras pas sans moi, mais tu peux essayé"
Je commençais à faire quelques pas faisant retentir mes talons puis je retournais la tête vers la blonde.
- "Tu reviendras vers moi, et tu me supplieras de t'aider et comme je suis "gentille" j'accepterai à mes conditions"
Je fronçais légèrement les sourcils d'un air faussement songeur.
- "Mais fait vite, la vie est courte pour les humains. Un jour je viendrais à mourir et contrairement à ce que tu crois ce ne sera pas source de joie pour toi. Puisque dans ce monde tu as besoin de moi et de ce que je sais".
Je sourie victorieuse d'un seule coup brisant le ton de mon ancienne tirade.
- "On s'appelle ?"
Meme si tout n'était que mensonge j'adorais le pouvoir que j'avais sur elle.